[Archive INA] 1968 : 1 semaine sur la Nationale 7...

Tout commence par un tragique accident, et se termine avec le chant des cigales à une époque où les ceintures de sécurité n'étaient pas encore obligatoires...! 
Des images que nous ne verrions plus de nos jours !   




Juillet 1968


Ce reportage se déroule durant une semaine du mois de Juillet 1968. Les journalistes entreprennent un voyage allant de Paris à Nice.

Sur la route, ils rencontrent un accident dramatique et interrogent les blessés.
Ils croisent une famille d’Américains en visite en France, ces derniers dévalisent les distributeurs de glaces des stations-service.
Ils rencontrent ensuite un couple d’Aubervilliers qui ont acheté une petite cabane au bord de la Nationale 7.
Des habitants du bord de la route parlent des gens qui partent en vacances.
3 étudiants rejoignent la Côte d’Azur à vélo et témoignent de leur parcours.
Les difficultés de circulation et les travaux sur la Nationale 7 rendent les voyages périlleux, les accidents y sont nombreux.
Le reportage s’intéresse également aux restaurants routiers du bord de route.
Monsieur Barnier, un restaurateur nous montre comment traverser la Nationale 7 avec une façon bien particulière et dangereuse de traverser la route.
Les reporters croisent ensuite des chevaux empruntant la Nationale 7 en Provence."

à trois minutes l'Ariane dépanneuse

j'aime bien ces documents d'archive! merci!

Bonjour,
Vu sur le groupe "TOUT SIMCA" sur FACEBOOK aujourdhui


A+
CHRISTIAN

tout une époque.
merci pour le partage.

J'adore ces documentaires d'époque

Le verbe des journalistes était haut, mais même 60 ans en arrière ils restaient quand même un peu « fouille merde », le regard du gars qui vient de voir partir femme et filles à l’hôpital En dit long sur ce qu’il pense des questions... 
Je n’aurais pas aimé traverser cette route comme le gars avec sa 204, ça fait peur! Quand je pense que pour amener Léo à la crèche je préfère faire un détour que de traverser une nationale en sortie de ville à cause du manque de visibilité , je crois que j’aurais frôlé l’arrêt cardiaque plus d’une fois dans la situation du bonhomme

c est vrai que cela parait surréaliste de traverser une route de la sorte , je n hésite pas a aller en sens contraire jusqu a un rond point pour éviter ce genre de situation  .
Ils ne s embêtaient pas non plus pour charger les blessés    et cela ne m étonne pas qu ils décèdent en arrivant a l hosto 
et alors que dire du couple d Aubervilliers qui ont acheté une maison en bordure de N7 , enfin la France d autrefois